Céline Patinet étudie à l’ÉCOLE SUPÉRIEURE D’ART ET DESIGN de Reims.
Elle en sort dotée d’un diplôme d’ingénieur en DESIGN MOBILIER.
Depuis 13 ans, elle discipline mobilier, architecture intérieure, scénographie, stylisme,
packaging, design culinaire, graphisme, films d’animation, multimédia…
Elle appréhende les médias, se joue des contraintes, dompte les scenarii,
convoque fond et forme au sein du projet.
Cette pluridisciplinarité libère sa créativité.
Elle n’est pas celle qui maîtrise l’instrument,
mais celle qui mène le propos en sélectionnant l’outil qui lui donnera corps.
Cette attitude, elle l’applique tout d’abord en tant que directrice artistique
de l’AGENCE TROCADERO, une agence d’édition.
Indépendante tant par son statut que par ses idées,
elle multiplie les collaborations avec agences et clients directs
renforçant ses expériences en édition, ouvrage d’art, presse, affichage,
packaging, film, stand, identité, web, mobilier…
Elle porte un intérêt particulier aux solutions multisupports,
gardant l’œil aiguisé sur les mutations des processus de communication.
Au printemps 1978, la radio pleure la disparition de Cloclo.
Céline Patinet pousse alors son premier cri en région parisienne.
Son poids et sa taille font pendant quelques jours
dit-on la fierté de ses parents,
mettant à mal leur inexorable préoccupation
quant au sort des Claudettes.
Dès 1981, elle voue un culte à la peinture à l’eau.
Elle décide dès lors de se lever tôt
pour remplir sur la table de la cuisine
des formats bien trop grands pour elle.
Chaque matin, avant de filer à l’école.
Mi-1983, elle fait ses premiers pas au Pays Basque,
suite à un exode familial.
Sous ses yeux se déroule un panorama tout blanc à petites touches de rouge,
depuis les milliers d’hommes s’encanaillant dans les rues des jours durant
jusqu’aux maisons aux façades desquelles
pendent par centaines les piments d’Espelette.
Elle s’affuble à son tour d’un accent redoutable
pour mieux s’approprier les harmonies locales.
Elle se fait remarquer en 1990
en remportant plusieurs concours de peinture,
dont certains étaient réservés aux adultes.
Succédant à la peinture à l’eau,
défilent à ce moment précis sur sa palette
pastels secs, peinture à l’huile, aquarelle, acrylique
et tout ce qui peut faire office de pigment.
Puis vient 1996, elle fait alors le nécessaire pour obtenir son bac S.
Elle affûte ses crayons, enclumes et pastels gras,
boucle cartons à dessin et valises
puis saute dans le premier train au départ pour Reims.
De 1996 à 2002, elle assiège les ateliers de design mobilier,
design produit, design culinaire, stylisme, scénographie,
graphisme, multimedia, animation, video…
de l’ÉCOLE SUPÉRIEURE D’ART ET DESIGN de Reims.
Flanquée d’un DNSEP DESIGN MOBILIER,
elle quitte Reims en 2002 pour rejoindre la capitale,
mue d’une passion vitale et
riche d’une faculté d’appropriation des media
à faire pâlir de jalousie un couteau suisse.
En 2003, après une expérience d’un an comme directrice artistique
salariée de l’AGENCE TROCADERO, agence-conseil en édition à Paris,
sous l’éclairage d’un CDI promis,
sa palette lui paraît d’un monochrome un peu trop sage.
Avide de défis complémentaires,
en mal de media à se mettre sous les neurones,
elle s’installe alors comme free-lance,
sous le nom fort évocateur de BIXTAN DA.
Poursuivant sa collaboration avec cette première agence,
l’indépendance de statut et d’idées retrouvée,
lui permettent de mener d’autres projets
conjuguant ainsi les expériences en édition, ouvrage d’art, presse,
affichage, packaging, film, stand, identité, web,
mobilier, décoration d’intérieur…
Autant vous dire qu’elle est pas prête de se mettre au vert.
a installé sur ses postes
PHOTOSHOP CS3
ILLUSTRATOR CS3
QUARK-XPRESS 7
IN DESIGN CS3
ACROBAT CS3
FONTOGRAPHER
ICONOGRAPHER
AFTER EFFECT CS3
PREMIERE CS3
SOUNDBOOTH (et SOUND EDIT)
FLASH CS3
DREAMWEAVER CS3
FIREWORKS CS3
WORD
EXCEL
POWER POINT
maîtrise aussi
LASERCOMB
utilise moins souvent
AMAPI
ARTLANTIS
CINEMA 4D
2 petits mots basques,
dérobés à l’espagnol VISTA,
dont l’apparition dans la célèbre allocution HASTA LA VISTA, BABY
démontre, sans conteste, l’inévitable nécessité.
Recel espagnol, donc.
Lui l’extorqua au latin VIDERE qui,
au-moment même où il donna au français VIDEO, VUE, ÉVIDENCE…,
octroya bien peu à l’anglais, à l’allemand que nenni,
aux autres ne concéda que les miettes.
BIXTAN DA, dès sa dénomination, fait donc preuve
d’une générosité culturelle insoupçonnable.
Et ça, c’est bien.
Dans l'atelier de BIXTAN DA vous trouverez
…tout ce qui fait d'elle une bonne ménagère.